Contrairement à ce que tout le monde, y compris le monde médical, croit dur comme fer, aucune étude scientifique n'a pu, à ce jour, démontrer le moindre lien entre la surcharge pondérale, les efforts, les surmenages physiques et le mal de dos.
Alors que les efforts au travail, grâce aux progrès techniques et à la mécanisation, diminuent, la plainte en matière de mal de dos augmente régulièrement. De même, le cartable de l'écolier s'allège progressivement d'année en année et la plainte des enfants au sujet du mal de dos, augmente.
Il faut donc chercher ailleurs l'origine de l'augmentation de fréquence du mal de dos dans toutes les catégories sociales. Pour commencer notre recherche, analysons les connaissances anatomiques et physiologiques connues et incontestables : pour déclencher un mal de dos, il faut l'intervention de 7 organes :
Le seul élément commun dans la vie de toutes les personnes se plaignant du mal de dos, que ce soit des adultes, des
personnes âgées ou des enfants, que ce soit des porteurs de charges lourdes ou des ronds-de-cuir, est l'
alimentation. La qualité de l'alimentation a commencé à se détériorer au
sortir de la Seconde Guerre Mondiale lorsque l'industrialisation de l'agroalimentaire s'impose et l'agriculture aux
pesticides se généralise.
Les spécialistes du mal de dos que sont les rhumatologues et les orthopédistes ne s'intéressent pas au paramètre
alimentaire car il ne figure pas dans leur domaine d'études, de recherches et d'investigations. Les nutritionnistes de
leur côtés ne s'intéressent pas au mal de dos pour les mêmes raisons.
Dans un premier temps, la mauvaise alimentation détériore la qualité de notre tissu graisseux entraînant, grâce à une boucle nerveuse l'apparition de la contracture musculaire. Ensuite, la contracture musculaire déclenche, à partir d'un certain seuil d'intensité, la douleur.
L'arthrose procède exactement des mêmes processus. La médecine sépare toutes les pathologies les unes des autres, or nous retrouvons dans beaucoup de pathologies les mêmes origines et les mêmes conséquences sur l'organisme.